jovan seghers

❝ midnight city ❝

surnom(s) ∞ Bird of ill omen. Comprendre par là oiseau de malheur, ni plus, ni moins. âge ∞ Vingt-huit ans. anniversaire ∞ Le douze février. nationalité ∞ Kosovar de naissance. ville d'origine ∞ Pristina, la capitale du Kosovo. lieu de vie ∞ Lucieville pour l'instant, une bonne planque tranquille. occupation(s) ∞ Mercenaire recruté sous contrats. qualités ∞ futé, intelligible, sérieux, loyal. défauts ∞ sans-coeur, charmeur, drogué, volatile. groupe ∞ chien jappô li pas morde. avatar ∞ Robert Pattinson.

crédits tumblr & wanderlust.

CASIER JUDICIAIRE.

CHOSES A SAVOIR.

Oiseau qui ne sors rarement avant le crépuscule et après l'aube. ⊕ Accro au datura en gouttes, l'hallucinogène le plus puissant au monde depuis qu'il est mercenaire. ⊕ Porte toujours son M9 A1 coincé contre sa ceinture. ⊕ Vêtu le plus souvent de vêtements de cuir. ⊕ Se faisait surnommer "James Denn de la gâchette" au Kosovo à cause de sa veste de cuir, sa démarche et sa façon de fumer. ⊕ Possède le tatouage [id. ##426-775-735] ou plus simplement son numéro de taulard kosovar. ⊕ Seghers n'est qu'un prête-nom, dans son pays c'est juste Jovan, le mercenaire. ⊕ Balade toujours un poing américain dans ses poches. ⊕ Quand il est recruté coupe la plupart du temps ses cheveux assez court car c'est une trop bonne prise pour se débattre puis le sang ça colle. ⊕ Faux passeport, faux visa, faux permis de conduire, est un pro de la contrefaçon, une des bases au Kosovo. ⊕ Cache l'argent reçu par ses contrats dans des pots à thé, plus personne ne boit du thé, sauf les sujets de sa Majesté. ⊕ A gardé un accent kosovar assez marqué malgré sa maîtrise assez potable de la langue. ⊕ N'as pour le moment pas effectué une seule exaction sur le sol américain. ⊕ Son principal employeur ne possède pas de nom mais seulement un pseudo internet, "f0110w.me" et communiquent uniquement par chat. ⊕ A amassé une petite fortune au fil des années et pourtant ne dépense quasiment rien. ⊕ Pratique son métier aussi bien pour le pognon que pour le plaisir. ⊕ A tendance à ne jamais garder ses pieds droits quand il se tiens immobile, vieille habitude pour marcher plus silencieusement. ⊕ A toujours la première douille de sa première balle fixée à la semelle intérieure de sa chaussure, un grigri en sorte. ⊕ Se rappelle bien de ses parents mais n'y porte plus aucun intérêt depuis qu'il est dans le milieu. ⊕ Bois uniquement de l'alcool pour se réchauffer, pas pour fêter. ⊕ N'hésite pas à reprendre les gens dans le faux, presque pédant dans la manière d'étaler son savoir. ⊕ Se fait le plus souvent passer pour un républicain traditionaliste, histoire d'avoir un simili de rôle et de ne pas attirer les soupçons. ⊕ A parfois autant la rage au corps que celle de vivre. ⊕ Aime parfois se percher dans les arbres comme un faucon. ⊕ Fais preuve parfois d'une trop grande méfiance qui peut paraître comme de la paranoïa. ⊕ Se ronge les ongles, non par stress mais plus par ennui. ⊕ Se laisse trop souvent aller au plaisir de la chair non par plaisir mais par "nécessité." ⊕ Ne vit d'une façon qui laisse peu de traces.

VRAI OU FAUX?

Une probable bipolarité ⊕ Des belles jeunes femmes ou des hommes dans ses draps il n'en porte guère une attention. ⊕ A une préférence pour les morts lentes et douloureuses. ⊕ A connu diverses "joyeusetés" lors de son séjour carcéral. ⊕ Se serait planqué dans le bayou à cause de divers mandats d'arrêts dans d'autres contrées. ⊕ Très turbulent lors de ses premières années en tant que mercenaire il s'est déjà fait casser la main à coup de marteau pour désobéissance. ⊕ Pour ne sortir qu'après le crépuscule on dit de lui qu'il est une créature de la nuit. ⊕ A voulu sortir de son monde mais n'en a jamais réussi. ⊕ Est tombé amoureux d'une prostituée de son pays qui le comprenait, lui et ses problèmes, l'as retrouvé les poumons emplis de pétrole pour avoir failli à ses obligations. ⊕ N'a jamais réellement apprécié son pays d'origine.. Démêlez la vérité du mensonge.

LE VAUDOU.

Jovan a vécu nombre de choses et senti beaucoup de douleur, que ce soit dans sa jeunesse et son pays qui vous apprend les dures choses de la vie avec brutalité. Ou encore la fosse sombre et putride qui vous sert de cellule en prison, ainsi que les diverses missions qu'il à du accomplir moyennement salaire et satisfaction. Oui, il a vu la vie, la cruauté humaine et bien des choses bizarres mais ce n'est pas aujourd'hui qu'il se mettra à croire à la sorcellerie ou aux fantômes. Le voir pour le croire c'est l'un de ses nombreux credo et pour le moment il n'en a pas fait l'expérience. Bien sûr qu'en fermant les yeux il repense à ceux qu'il a pu s'attacher, non sans un certain mal. Il connaît les histoires, il est au courant des légendes, il lui arrive parfois de lire ou de tomber sur des documentaires à quatre heures du matin. Alors comme tout le monde il est au courant des légendes, des bruits qui courent comme le vent entre deux ruelles désertes mais dans sa tête ce ne sont que sornettes et balivernes.

LE BAYOU.

Lucieville. Un petit trou paumé au milieu de la Louisiane, tranquille ou les habitants ne viendrons pas forcément vous questionner sur le quoi du comment. Le coin de paradis pour un mercenaire qui cherche à oublier son travail et à prendre un peu de bon temps avec des filles et de profiter de son argent. Dans la tête de Jovan ce n'est qu'une ville de passage, une de plus après toutes celles qu'il a pu traverser. Une dépaysement pas forcément choquant pour le jeune kosovar quand on a traversé le monde. Un endroit qu'il lui plait et sur lequel il s'ancrera tant qu'on ne lui posera pas trop de questions ni chercher trop d'ennuis.

’’ PARCE QUE J'AI BESOIN DE TOI.
PARCE QUE JE PENSE A TOI JOUR ET NUIT.
PARCE QUE JE PRÉFÈRE QUE TU SOIS A MOI PLUTÔT QU'AUX AUTRES.
JE T'AIME.. POGNON.

Le loup hurle dans ta tête alors qu'un jeton rentre bruyamment dans l'interstice du jukebox tandis qu'un doigt glisse sur un choix. Le beat assourdissant éclate hors des enceintes et atteins ton ouïe. Mais sur le moment tu n'as plus envie d'entendre alors tu reçois uniquement la voix suave de l'interprète qui enflamme tes oreilles. Tes pupilles sont dilatées sous l'effet de ce doux poison qui te brûle un peu plus chaque jour la retine. Le mouvement, tout est difforme. C'est aussi bien obscurité que lumière. Tu ne distingues plus les courbes voluptueuses de la jeune femme qui se tortille devant toi en espérant quelques billets. Cet argent sale que tu renifles et qui fait frissonner tes narines pendant que tu sens très bien le pistolet qui étreint tes reins, emprisonné par ta ceinture. Ce soir il ne reste que ça. Dépasser les limites, flirter avec ta mort naissante un peu plus chaque jour. Tu relèves à peine le nez, distinguant les plaisantes effluves de cette créature sans nom qui vient se prosterner à tes pieds, allongé sur le bord du lit que tu es, ô toi, dieu de sa nuit. Elle t'observe, cherche un signe, une approbation mais tu ne bouges pas, tu laisses ton regard se noyer sur le plafond, vide. Ses phalanges frôlent tes orteils et ton corps si froid, frissonne, faisant s'hérisser un signe de ta virilité sur tes jambes et tes bras. Pourvu qu'elle soit douce. Mais au fond de toi tu ricanes car tu sais qu'elles le sont toutes, comme de jolies petites poupées de porcelaine.

Ne parle pas, elle se taira. Reste immobile, elle te fera tout. C'est son travail et c'est toi qui le rémunère, qui l'encourage dans cette continuité mais cela ne te touche pas. Tu penses à autre chose malgré que ton regard ce soit décroché pour admirer cette poitrine qui ce soir, est à toi. Mais tu n'en veux pas, tandis qu'elle te veux. Et elle continue à te toucher, elle laisse remonter ses ongles contre ta peau, sentant que malgré tout tu réagis. Tu ne peux que faire ça. Tes yeux se ferment un instant car tu penses rêver. Et pourtant c'est bien son doigté tendre que tu sens en train de déboucler sa ceinture de cuir. Mais tu l'interromps, saisissant d'une bonne poigne sa main, mêlant tes phalanges aux siennes, cherchant juste à l'avoir près de toi cette nuit.

Tu remarques une croix autour de son cou quand elle se colle à toi et tu viens la saisir aussi sèchement que tu la prendrais cette nuit. Tu tournes ta tête, frôlant ça joue, le coin de ses lèvres sans autant jamais l'embrasser, lui susurrant comme un mot d'amour: "Tu crois qu'il y'a quelque chose au- dessus?" Tu te pinces les lèvres mais tu poses un doigt sur les siennes, l'interrompant. "Je pense que quand tu étais à la messe c'était plus pour mater la braguette du cureton." Et tu soupires, reprenant encore. "Ne me réponds pas oui par pitié, les curtons n'ont pas de braguette." Puis doucement tu la repousses, tu la rejettes, lui tendant son salaire non-mérité, elle qui espérait tant se faire étreindre un peu trop fort.

Relève toi mercenaire. Ce soir ce n'est pas ta tâche, tu en as une autre. De celles qui te font jubiler car elles sonnent avec un goût de vengeance. Certes tu hallucines, tu vois des choses qui n'existent pas, plus, certaines que tu n'aimerais plus voir du tout. Mais tu es toujours le même. Il y'as quelque chose en toi cette nuit qui fait s'embrasser ton coeur trop fort mais cela ne t'empêche pas de te lever, droit, fixant la porte. Échappatoire qui te mènera à l'enfer dans un instant. Tu sors dans le couloir, d'un pas qui ne ressemble plus à rien, l'arme déjà à la main, la serrant aussi fort que tu aurais du la serrer elle. Tu ne vas pas loin, ta route ne sera pas longue. Tu ouvres la porte de la chambre d'à côté, ton doigt vient épouser la gâchette et tu repousses le bois du pied, l'arme déjà tendue. Le spectacle de la débauche se déroule devant tes yeux mais ces derniers sont comme tes oreilles. Ils voient seulement ce qu'ils veulent voir.

Ta cible tu ne l'as vois pas entièrement, vil amas de chair cachée par un autre. Mais cette fois-ci ce n'est plus la même passion. Ami ou ennemi, si tu es sur ma route, fuis. Tu presses la détente et la déflagration ne se fait pas attendre. Elle te fait ciller, te fait siffler les oreilles et pourtant tu perçois ce cri rauque venant du lit, tu approches, penche la tête. D'une tendresse qui n'as pas lieu d'être, tu pousses ce cadavre de tentation, le même qu'il y'as dix minutes, sur le côté et viens attraper le second, toujours bien en vie. Tu le regardes, le fixe, tu attends quelque chose qui ne vient pas alors que ton seul amour se pointe sur son front. Tu rigoles. Oh oui, tu es hilare au fond. "Bonsoir Inspecteur. Tu te souviens de moi? Tu m'as mis en prison" Tu as un rire, un sourire de fou, tu clos tes yeux car tu ne veux pas y repenser. "Merci. Merci de m'avoir fait connaître une douche avec un gros dur si dur qu'un coup de marteau ne le ramollirait pas et qui me chuchotte "Nancy, oh douce Nancy." à l'oreille."Un grondement se fait percevoir du fond de ta gorge, c'est presque de la colère, du dégoût et des ressentiments. "Un grand merci de m'avoir permis de me connaître beaucoup mieux."Et tu décoches ton coup, comme un archer, dans son front. Douce vengeance.

Tu as vu ce que tu voulais voir, tu as fait ce que tu voulais faire. Tes talons se tournent et tu arpentes ce couloir comme un faucon avec une nouvelle proie à ton tableau. Tu repars comme l'ombre que tu as toujours été. Disparaît, fuis, ne laisse aucune trace.

Comme tu l'as toujours fait.

louis ∞ satyre ❝ in real life ❝age ∞ vingt et un an. fréquence connexion ∞ tout les jours sauf trucs de prévu bien sûr. commentaire ∞ i'm a bad bitch et j'aime manger les chats. dernière volonté ∞ ainsi soit-il?.

Ta fiche est une tuerie! Hâte de lire la suite.
Bienvenu et bonne chance pour la suite. Puis, Pattinson quoi !