gaëlle cuvellier

❝ The secret of happiness is freedom. The secret of freedom is courage. ❝

surnom(s) ∞ on l’appelle souvent Gaga parce que c'est le diminutif de Gaëlle, et Pumkin, pour... rien, en fait. c'est comme ça. âge ∞ elle est âgée de dix-neuf ans, ce qui est bien assez, non ? anniversaire ∞ quatre avril. nationalité ∞ américaine pure souche. ville d'origine ∞ laive-york. lieu de vie ∞ à cheval entre deux villes ; laive-york le week end, chez l'parternel, et la semaine, avec son imbécile de mère, à Lucieville. occupation(s) ∞ vagabonde à son gré, enfant sauvage, elle file les rues, et joue les aventurières. qualités ∞ boute en train, aventurière, courageuse, affectueuse et dynamique. défauts ∞ méfiante, jalouse, bornée, et colérique. groupe ∞ chien jappô li pas morde. avatar ∞ hattie watson.

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∞ liberté. l'importance, du mot, est fabuleuse. la liberté. ce dont rêvent tous les rednecks du monde, ce par quoi jurent les pays pour imposer leur volonté. pas de demi-mesure chez Gaëlle, libre, elle l'est. ∞ divorce. l'essence même du mot est putride, en recèle quelque chose d'affreux. elle le déteste. Décidée à ne jamais se marier, à ne jamais se voir prononcer pareil mot. ∞ alcool. paradoxe à lui seul. Elle déteste sa mère pour être si faible, pourtant Gaëlle ne se refuse que rarement un verre. soit. mais elle n'est pas comme elle. ∞ faiblesse. Gaga méprise les moroses, ces gens qui se morfondent, qui se plaignent de n'avoir que ce qu'ils méritent. ∞ elle n'a pas de téléphone; impossible donc de la joindre. de toute façon, si on lui en offre un, elle le jetterait dans le bayou. ∞ la farouche Gaëlle, parfois, aimerait que son père, davantage que sa mère, se soucie un tant soit peu d'elle; si elle vit chez lui les weeks ends, ce n'est pas pour ça qu'elle le voit souvent. ∞ Gaëlle fait difficilement confiance. ∞ le vaudou. n'énoncez jamais cette chose, ou la jeune fille, risque de perdre toute contenance, et de se montrer sous son plus mauvais jour. Elle l'exècre, le bannit, le maudit même. ∞ ancienne princesse, Gaëlle est devenue, la princesse des rues, celle qui vaque ici et là, sans attaches ni gênes. ∞ campée fermement sur ses positions, Gaëlle n'hésite pas à faire savoir ce qu'elle pense, à dire bien haut ce que pensent les autres. c'est une des choses qui lui attirent des ennuis. ∞ elle traine avec sa bande, et ne fait rien d'autre; le lycée, elle a abandonné lorsque ses parents ont divorcé, et elle ne sait pas quoi faire d'autre, de toute façon. ∞

Les essences salées emplissent l’atmosphère déjà étouffante. L’air est empli des douces senteurs de l’automne, cependant, il ne fait pas frais, et c’est à peine si la brise la dérange. Le ciel nuageux ne laisse entrapercevoir aucun rayon de l’astre solaire. Dans la rue, les passants marchent, ères trop occupés pour s’occuper d’autres problèmes que les leurs. Elle n’a pas de mauvaises intentions, seulement, de mauvaises fréquentations. Elle glousse. C’est c’que dirais son père. Elle roule des yeux. Son père. Amusant de voir à quel point, une vie peut être ébranlée en quelques ans. La gamine qu’elle était alors, protestait. Ne l’aimaient-ils donc pas ? Etaient-ils donc si égoïstes, qu’ils ne pensaient qu’à eux, et la laissaient entre deux feux croisés ? Ce n’est qu’au fil du temps, qu’elle apprit que ce n’était pas par égoïsme, mais bien pour leur plus grand bien à eux tous. Non, c’était leurs mots, à vrai dire. Leur plus grand bien. Le sourire dédaigneux, méprisant à souhait qu’elle offrit aux nuages, ne semble pas les perturber. Elle ne voit pas ou est le bien. Elle ne parle pas à son père – jamais là, celui-là. Sa mère. L’écume de la colère grimpe le long du ressac, afflue rageusement dans ses veines. Son sourire se crispe, et la chaleur de ses prunelles disparait.

« J’l’ai appelé. » Elle trébuche, manque de tomber. Gaëlle roule des yeux. « Qu’es-ce ça peut me foutre, tu t’fais bien tringler par qui tu veux. » rétorque-t-elle sèchement, sans même daigner lever les yeux de ce foutu journal. Sa mère glousse. Quatre heures de l’après midi, et d’jà sec comme un cul de poule. Gaëlle ne préfère pas imaginer le cadavre en approche d’ici ce soir. « Pas lui, stupide.. » Elle se tait devant le regard furibond de sa fille. « le maître des ombres. » Gaëlle lâche le journal. « t’as pas fait ça. » ses yeux cherchent le regard de sa mère, le trouvent, et y lisent la confirmation qu’elle craint. « putain » vaudou de merde. Elle froisse le journal, de colère, le jette à sa mère, mais la manque de plusieurs dizaines de centimètres. « ca va me débarrasser de .. Ça » hoquette sa mère, le regard vitreux, la bouteille tremblante dans sa main. « mon cul, ouais. Ça va surtout nous foutre dans la vase bien au fond. Qu’es-ce t’en sais, hein, que ça va te faire arrêter ? Pour ça, faudrait déjà que t’est ne serait-ce qu’un chouia de volonté, et tu crois qu’le vieux taré va te le donner ? » A nouveau Gaëlle roule des yeux, secouant la tête. « et c’est moi la gamine, qu’ils disent. » Elle se lève, attrape son blouson en jean. « j’me casse. » balance-t-elle avant de sortir et de claquer la porte derrière elle. La colère enflamme toujours ses membres, et lorsque, à Lucieville, elle croise le magasin de vaudou, vandalisé, elle ne peut empêcher ses lèvres de s’étirer, en un sourire carnassier. Connerie de vaudou. Elle leur ferait bouffer, à tous, pour mieux qu’ils en chient et qu’ils réalisent à quel point ce truc est malsain. Mais non, il a fallu que sa mère aille demander de l’aide là ou il ne faut PAS aller. Sous aucun prétexte.
Le vaudou, c’est l’Enfer de Gaëlle.

laurine ∞ middle ages ❝ in real life ❝age ∞ 21. fréquence connexion ∞ tous les jours. commentaire ∞ vous êtes fous. vous êtes fous parce que je tombe jamais amoureuse d'un pv, et que, là, paf, pim dans ta face, gaëlle arrive et ébranle tout... dernière volonté ∞ juste, si il est possible de me réserver la minette ? Faut que je taffe ma 3D cette après-midi, je pourrais faire ma fiche que ce soir. .

Tiens, tiens. Salut, toi.
Savatu ? Bienvenue, poulette. Ta nana envoie le bois, un peu.

Citation :

Non, c’était leurs mots, à vrai dire. Leur plus grand bien. Le sourire dédaigneux, méprisant à souhait qu’elle offrit aux nuages, ne semble pas les perturber. Elle ne voit pas ou est le bien. Elle ne parle pas à son père – jamais là, celui-là. Sa mère. L’écume de la colère grimpe le long du ressac, afflue rageusement dans ses veines. Son sourire se crispe, et la chaleur de ses prunelles disparait.